samedi 27 novembre 2010

"la peau des couilles".... Vous y croyez ?

Pourquoi cette expression : "la peau des couilles"

Voilà l'histoire réelle (?) d'une expression connue de tous, mais très souvent mal orthographiée.

Par un beau jour d'automne 1820, le duc de Mirnouf, passionné par la chasse mais frustré par le maigre gibier qu'il ramenait de ses pérégrinations forestières, imagina qu'il devait être possible de fabriquer un outil apte à lui faciliter la tâche et rendre plus plaisante sa traque des animaux.

Il convoqua tous les artisans de la contrée pour mettre au concours la concrétisation de cette idée et leur laissa deux mois pour fabriquer le plus inventif et le plus efficace des appareils.

A peine une semaine plus tard, un marchand du nom de Marcel Écouille, se présenta au château clamant à qui voulait l'entendre qu'il possédait ce dont le duc rêvait.

Il obtint sans peine une audience auprès du noble seigneur et s'empressa de lui faire la démonstration de sa merveille.

Devant une assemblée dubitative mais curieuse, il sortit de sa poche un minuscule sifflet (un appeau) et le porta à la bouche pour produire un son strident qui aussitôt imposa le silence parmi les personnes présentes.

A peine quelques secondes plus tard, des dizaines d'oiseaux de toutes sortes s'étaient approchés et virevoltaient autour de lui, comme attirés et charmés par cette étrange mélodie.

Le duc imagina sans peine le profit qu'il pouvait tirer d'un tel accessoire lors des ses futures chasses.

Il s'éclaircit la gorge et ne prononça qu'une seule phrase :

-Combien cela va-t-il me coûter?

Marcel Écouille, sûr de lui, répondit qu'il accepterait de se séparer de son objet en échange de la moitié de la fortune de son interlocuteur.

Cette requête fit sourire l'assemblée mais le duc garda tout son sérieux et accepta la transaction.

La nouvelle fit grand bruit et se répandit vite bien au delà des limites du duché.

Un marchand avait vendu un sifflet pour une somme astronomique au Duc qui en paya le coût sans broncher.

Ainsi, cette anecdote a subsisté dans la langue française pour qualifier les objets hors de prix :

« Ca coûte l'appeau d'Écouille ». ET NON PAS LA PEAU DES COUILLES.



Anonyme au hasard du net

Un peu de culture, ne peut pas faire de mal.

N'oublions pas, la culture c'est un peu comme la confiture,moins on en possède plus on l'étend.

vendredi 19 novembre 2010

Très fort ...

Un diplomate israélien, a récemment fait sourire la communauté des diplomates aux Nations Unies :

Le représentant d'Israël qui venait d'être appelé à faire son discours, déclara :
"Avant de commencer mon discours, je désire vous raconter une histoire à propos de Moïse.

Lorsqu'il frappa le rocher et que l'eau se mit a jaillir, Moïse pensa "Quelle belle occasion de prendre un bain" !

Il se déshabilla, posa avec soin ses vêtements sur un rocher puis entra dans l'eau.

Lorsqu'il en ressortit, ses vêtements avaient disparu, volés par un palestinien."

Le représentant palestinien, estomaqué et furieux interrompit le discours du représentant israélien et s'écria :

"Que racontez-vous ? Les palestiniens n'étaient pas là à cette époque".

Le représentant Israélien sourit puis dit :

"Maintenant que ceci est clairement établi, je peux commencer mon intervention."

dimanche 7 novembre 2010

Combien de temps…

Combien de temps encore
Des années, des jours, des heures combien?
Quand j’y pense mon coeur bat si fort…
Mon pays c’est la vie.
Combien de temps…
Combien ?
Je l’aime tant, le temps qui reste…

Je veux rire, courir, parler, pleurer,
Et voir, et croire
Et boire, danser,
Crier, manger, nager, bondir, désobéir
J’ai pas fini, j’ai pas fini
Voler, chanter, partir, repartir
Souffrir, aimer
Je l’aime tant le temps qui reste

Je ne sais plus où je suis né, ni quand
Je sais (juste) qu’il n’y a pas longtemps…
Et que mon pays c’est la vie
Je sais aussi que mon père disait:
Le temps c’est comme ton pain…
Gardes en pour demain…

J’ai encore du pain,
J’ai encore du temps, mais combien?
Je veux jouer encore…
Je veux rire des montagnes de rires,
Je veux pleurer des torrents de larmes,
Je veux boire des bateaux entiers de vin
De Bordeaux et d’Italie
Et danser, crier, voler, nager dans tous les océans
J’ai pas fini, j’ai pas fini
Je veux chanter
Je veux parler jusqu’à la fin de ma voix…
Je l’aime tant le temps qui reste…
Combien de temps…

Combien de temps encore?
Des années, des jours, des heures, combien?
Je veux des histoires, des voyages…
J’ai tant de gens à voir, tant d’images…
Des enfants, des femmes, des grands hommes,
Des petits hommes, des marrants, des tristes,
Des très intelligents et des cons,
C’est drôle, les cons, ça repose,
C’est comme le feuillage au milieu des roses…
Combien de temps…

Combien de temps encore?
Des années, des jours, des heures, combien?
Je m’en fous mon amour…
Quand l’orchestre s’arrêtera, je danserai encore…
Quand les avions ne voleront plus, je volerai tout seul…
Quand le temps s’arrêtera.
Je t’aimerai encore
Je ne sais pas où, je ne sais pas comment…
Mais je t’aimerai encore…
D’accord?

Jean-Loup Dabadie