vendredi 2 décembre 2011

Sociologie comparée



L
a Commission Européenne a décidé d'organiser une expérience pour étudier le comportement des Européens. En s'inspirant de jeux de télé-réalités, elle a décidé de laisser quelques temps, livrées à elles-mêmes sur une île déserte et merveilleuse, les jeunes personnes suivantes :

1) Deux Italiens et une Italienne.
> 2) Deux Français et une Française
> 3) Deux Allemands et une Allemande
> 4) Deux Grecs et une Grecque.
> 5) Deux Anglais et une Anglaise.
> 6) Deux Bulgares et une Bulgare.
> 7) Deux Suédois et une Suédoise.
> 8) Deux Irlandais et une Irlandaise.
> 9) Deux Belges et une Belge
> 10) Deux Russes et une Russe.
> 11) Deux Suisses et une Suissesse.


Au bout de trois mois de vie commune, la Commission a fait les observations suivantes :
- Un Italien a fait assassiner l'autre Italien pour avoir l'Italienne à lui seul.
- Les deux Français et la Française forment un très harmonieux ménage à trois.
- Les deux Allemands se partagent les faveurs de l'Allemande, en respectant très scrupuleusement l'alternance hebdomadaire.
- Les deux Grecs couchent ensemble et la Grecque fait la cuisine et le ménage.
- Les deux Anglais attendent désespérément que quelqu'un veuille bien avoir l'obligeance de leur présenter l'Anglaise.
- Les deux Bulgares, après avoir jeté un regard à la Bulgare et scrupuleusement observé l'horizon ont finalement décidé de tenter leur chance à la nage...
- Les deux Suédois spéculent toujours sur les vertus du suicide alors que la Suédoise use et abuse des bains de soleil pour mettre son corps en valeur.
- Les Irlandais ont commencé par diviser l'île en Nord et Sud et ont installé une distillerie au centre. L'important pour eux, c'est que les Anglais n'en aient pas une goutte ! Quant au sexe, considérant qu'après quelques litres de whisky, il règne une sorte de brouillard épais sur l'île, la question ne se pose même pas.
- Les Belges ont fondé un gouvernement chacun, plus un pour les questions communes, un pour les matières personnalisables masculines auquel la femme ne participe pas et une commission de concertation sur l'emploi des langues, au cas où la femme, qui a une grand-mère flamande, dirait une phrase ou deux en Néerlandais par accident. Finalement, le mariage relevant de 14 compétences avec chevauchement, les hommes négocient leur droit de faire la cour à la femme en faisant du troc avec une vieille boîte de cachets d'aspirine.
- Le premier Russe a épousé la femme russe et a divorcé peu après. Il est le meilleur client de la distillerie irlandaise. Le second Russe s'est fait un peu d'argent en tuant un des deux Italiens et en négociant les visas de sortie des deux Bulgares. Avec cet argent, il a acquis 33,3 % des parts de la distillerie irlandaise, obtenu une licence de vente exclusive pour les Anglais et a engagé un Grec comme vendeur. Il emploie de plus les Allemands comme gardes du corps pour lui et sa fiancée russe en promettant à la Bulgare le poste de nurse pour son premier enfant. Enfin, il prend régulièrement des cours d'anglais avec la Suédoise.
- Les trois Suisses, quant à eux, ont sorti un nouveau catalogue Printemps/Eté.


lundi 28 novembre 2011

sacré Bill

… çà devrait être affiché dans chaque école... voire dans certains bureaux !

Bill Gates a récemment prononcé un discours dans une école secondaire à

propos de 10 choses que l'école n'apprend pas mais qu'il faut néanmoins

apprendre le plus rapidement possible ! Vous pouvez ne pas l'aimer. Mais

sachez que, lui, a certainement appliqué les règles qu'il préconise...

Il parle de bons sentiments et d'enseignements politiquement corrects qui ont

créé des générations de jeunes totalement dépourvus du moindre sens des

réalités de la vie. Tout en expliquant comment ce "concept" les prédispose à

l'échec dans le monde réel, il donne ici dix règles à suivre.

A faire lire à certains ados "révoltés". Et à d'autres...

Règle 1 :

La vie est injuste : il faut vous y habituer !

Règle 2 :

Le monde se fout de votre amour-propre.

Le monde s'attendra à ce que vous accomplissiez quelque chose AVANT que vous

ne vous félicitiez vous-même.

Règle 3 :

Vous ne gagnerez pas 60 000 $ par an en sortant de l'école.

Vous ne serez pas vice-président en commençant, avec un portable et une

voiture de fonction fournis, avant d'avoir mérité, gagné ces privilèges.

Règle 4 :

Si vous croyez que votre professeur est dur avec vous, attendez d'avoir un

patron.

Règle 5 :

Travailler dans une friterie n'est pas s'abaisser. Vos grands-parents

avaient un mot différent pour ça : ils l'appelaient une opportunité.

Règle 6 :

Si vous gaffez, CE N'EST PAS LA FAUTE DE VOS PARENTS, arrêtez de chialer et

apprenez de vos erreurs.

Règle 7 :

Avant que vous naissiez, vos parents n'étaient pas aussi ennuyeux qu'ils le

sont maintenant !

Ils sont devenus comme ça en payant vos factures, en nettoyant vos vêtements

et en vous entendant répéter sans arrêt combien vous êtes bons et cools et

combien eux ne le sont pas...

Ainsi, avant de sauver les forêts tropicales des parasites de la génération

de vos parents, commencez donc par faire le ménage dans votre propre chambre

et dans votre propre vie.

Règle 8 :

Votre école s'est peut-être débarrassée du système « gagnant-perdant », MAIS

PAS LA VIE !

Dans certaines écoles, on a aboli les notes de passage et on vous donne

autant de chances que vous voulez pour obtenir la bonne réponse; ça n'existe

pas dans la vraie vie ! A la première connerie, vous êtes viré !

Règle 9 :

La vie n'est pas divisée en semestres. L'été n'est pas une période de congé.

Et très peu d'employeurs sont disposés à vous aider, à VOUS ASSUMER, c'est

VOTRE responsabilité.

Règle 10 :

La télévision n'est pas la « vraie vie ».

Dans la vraie vie, les gens quittent le café et vont travailler. Dans la

vraie vie, les gens ne font pas la fête non stop, s’ils le faisaient, ils

seraient fauchés, virés et crèveraient en quelques mois. Dans la vraie vie,

les gens bossent, sont payés et paient pour ce qu’ils ont.

Rien n’est gratis. La vraie vie, c’est 80% de merde et 20% de plaisir...

dans le meilleur des cas !

Si vous êtes d'accord, faites circuler, sinon, mettez-vous la tête dans le

sable et prenez une grande respiration.

Bill Gates


jeudi 24 novembre 2011

Les mêmes raisons

Sir George Bernard Shaw prix Nobel de littérature en 1925 a prononcé la petite phrase suivante:


"Les hommes politiques et les couches doivent être changés souvent...
et pour les mêmes raisons."

samedi 29 octobre 2011

REFLEXION



Si conformément à l'église, la pilule du jour d'après est déjà considérée comme un avortement,
Une nouvelle question se pose : la masturbation peut-elle être vue comme un homicide prémédité ?
En outre, est-ce que la fellation devient du cannibalisme ?
Et ainsi, peut-on considérer le coït interrompu comme un abandon parental ?
Que peut-on dire sur le préservatif ? Serait-ce un meurtre par asphyxie ?
Le doute m'habite.

Auteur anonyme

jeudi 27 octobre 2011

Autarcie


Leçon d'économie élémentaire :


Ça se passe dans un village qui vit du tourisme, mais à cause de la crise il n'y a plus de touristes.
Tout le monde emprunte à tout le monde pour survivre.

Plusieurs mois passent, misérables.

Arrive enfin un touriste qui prend une chambre. Il la paie avec un billet de 100 €.
Le touriste n'est pas plutôt monté à sa chambre que l'hôtelier court porter le billet chez le boucher, à qui il doit justement cent euros.
Le boucher va aussitôt porter le même billet au paysan qui l'approvisionne en viande.
Le paysan, à son tour, se dépêche d'aller payer sa dette à la prostituée à laquelle il doit quelques passes.
La prostituée se rend à l'hôtel pour rembourser l'hôtelier qu'elle ne payait plus quand elle prenait une chambre à l'heure.

Comme elle dépose le billet de 100 € sur le comptoir, le touriste qui redescend dit à l'hôtelier que la chambre ne lui convient pas

Il ramasse son billet et disparaît.

Rien n'a été dépensé, ni gagné, ni perdu.

N'empêche que plus personne dans le village n'a de dettes.

N'est-ce pas ainsi qu'on est en train de résoudre la crise mondiale ???

samedi 22 octobre 2011

Petit cours d'économie

COMMUNISME :
Vous avez 2 vaches. Le gouvernement vous prend les deux et vous fournit en lait.

FASCISME :
Vous avez 2 vaches. Le gouvernement vous prend les deux et vous vend le lait.

NAZISME :
Vous avez 2 vaches. Le gouvernement vous prend la vache blonde et abat la brune.

DICTATURE :
Vous avez 2 vaches. Les miliciens les confisquent et vous fusillent.

FEODALITE :
Vous avez 2 vaches. Le seigneur s'arroge la moitié du lait.

DEMOCRATIE :
Vous avez 2 vaches. Un vote décide à qui appartient le lait.

DEMOCRATIE REPRESENTATIVE :
Vous avez 2 vaches. Une élection désigne celui qui décidera à qui appartient le lait.

DEMOCRATIE DE SINGAPOUR :
Vous avez 2 vaches. Vous écopez d'une amende pour détention de bétail en appartement.

ANARCHIE :
Vous avez 2 vaches. Vous les laissez se traire en autogestion.

CAPITALISME :
Vous avez 2 vaches. Vous en vendez une, et vous achetez un taureau pour faire des petits.

CAPITALISME FINANCIER :
Vous avez 2 vaches. Vous en vendez 3 à votre société cotée en bourse en utilisant des lettres de créance ouvertes par votre beau-frère auprès de votre banque. Puis vous faites un " échange de lettres contre participation", assorti d'une offre publique, et vous récupérez 4 vaches dans l'opération tout en bénéficiant d'un abattement fiscal pour l'entretien de 5 vaches. Les droits sur le lait de 6 vaches sont alors transférés par un intermédiaire panaméen sur le compte d'une société des îles Caïman, détenues clandestinement par un actionnaire qui revend à votre société cotée les droits sur le lait de 7 vaches. Au rapport de ladite société figurent 8 ruminants, avec option d'achat sur une bête supplémentaire.

CAPITALISME SAUVAGE :
Vous avez 2 vaches. Vous vendez l'une, vous forcez l'autre à produire comme quatre, et vous licenciez l'ouvrier qui s'en occupait en l'accusant d'être inutile.

BUREAUCRATIE :
Vous avez 2 vaches. Le gouvernement publie des règles d'hygiène qui vous invitent à en abattre une. Après quoi il vous fait déclarer la quantité de lait que vous avez pu traire de l'autre, il vous achète le lait et il le jette. Enfin, il vous fait remplir des formulaires pour déclarer la vache manquante.

ECOLOGIE :
Vous avez 2 vaches. Vous gardez le lait et le gouvernement vous achète la bouse.

FEMINISME :
Vous avez 2 vaches. Le gouvernement vous inflige une amende pour discrimination. Vous échangez une de vos vaches pour un taureau que vous trayez aussi.

SURREALISME :
Vous avez 2 vaches. Le gouvernement exige que vous leur donniez des leçons d'harmonica.

CAPITALISME EUROPEEN :
On vous subventionne la première année pour acheter une 3ème vache. On fixe les quotas la deuxième année et vous payez une amende pour surproduction. On vous donne une prime la troisième année pour abattre la 3ème vache.

MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE BRITANNIQUE :
Vous tuez une des vaches pour la donner à manger à l'autre. La vache vivante devient folle. L'Europe vous subventionne pour l'abattre. Vous la donnez à manger à vos moutons.

CAPITALISME A LA FRANCAISE :
Pour financer la retraite de vos vaches, le gouvernement décide de lever un nouvel impôt : la CSSANAB (cotisation sociale de solidarité avec nos amies les bêtes). Deux ans après, comme la France a récupéré une partie du cheptel britannique, le système est déficitaire. Pour financer le déficit on lève un nouvel impôt sur la production de lait : le RAB (Remboursement de l'Ardoise Bovine). Les vaches se mettent en grève.
Il n'y a plus de lait. Les Français sont dans la rue : " DU LAIT ON VEUT DU LAIT". La France construit un lactoduc sous la manche pour s'approvisionner auprès des Anglais. L'Europe déclare le lait anglais impropre à la consommation. On lève un nouvel impôt pour l'entretien du lactoduc devenu inutile : le IDLQV (l'Impôt Du Lactoduc Qu'est Vide) etc.

REGIME CORSE :
Vous avez deux cochons qui courent dans la forêt. Vous déclarez 20 vaches et vous touchez les subventions européennes.


Auteur anonyme

mercredi 19 octobre 2011

Rester fier

"Rester fier en toute circonstance" !
Telle doit être notre devise !
Image du contribuable en 2011 :

Le plus important, quand le fisc t’a plumé...
c'est de toujours garder...la tête haute !!!
Quand j'ai reçu mon formulaire d'impôts 2011, je l'ai complété et retourné immédiatement par la poste.
Dans la case : Avez-vous des personnes à charge ? J'ai coché :
OUI
Dans la case : Liste des personnes à charge, j'ai répondu :
Les sans-papiers, les sans-abris, les toxicomanes, les chômeurs, les politiciens, les RMIstes, les CMU, les RSA, les AME, les ROMS, les délinquants en tôle, les fadas en mal d'exploits, les journalistes imprudents enlevés, les syndicats, les fraudeurs en tous genres, les fainéants, les branleurs et la moitié de l'Afrique et maintenant les GRECS ...!
Il parait que ma réponse n'est pas recevable !!!!!
Je ne comprends pas, j'ai pourtant dit la vérité !!!!!

"Rester fier en toute circonstance" !
Telle doit être notre devise !

Image du contribuable en 2011 :

Le plus important, quand le fisc t’a plumé...
c'est de toujours garder...la tête haute !!!
Quand j'ai reçu mon formulaire d'impôts 2011, je l'ai complété et retourné immédiatement par la poste.
Dans la case : Avez-vous des personnes à charge ? J'ai coché :
OUI
Dans la case : Liste des personnes à charge, j'ai répondu :
Les sans-papiers, les sans-abris, les toxicomanes, les chômeurs, les politiciens, les RMIstes, les CMU, les RSA, les AME, les ROMS, les délinquants en tôle, les fadas en mal d'exploits, les journalistes imprudents enlevés, les syndicats, les fraudeurs en tous genres, les fainéants, les branleurs et la moitié de l'Afrique et maintenant les GRECS ...!
Il parait que ma réponse n'est pas recevable !!!!!
Je ne comprends pas, j'ai pourtant dit la vérité !!!!!

lundi 26 septembre 2011

Cours de médecine, histoire vraie.



Un professeur à l'Ecole de Médecine fait un cours aux élèves de 1e année
sur*"/Les contractions/* */musculaires involontaires /".*

Réalisant que l'intérêt suscité chez ses étudiants est très relatif, il
décide de les réveiller un peu en posant la question suivante à une
jeune femme assise au 1er rang :

"Est-ce que vous savez ce que fait votre trou du cul lorsque vous avez
un orgasme ?"

Et elle de répondre :

"Oui, il est au parc des princes pour encourager le PSG."

Il a fallu plus d'une demi-heure pour rétablir l'ordre dans l'amphi.

mardi 13 septembre 2011

La régle d’ Or des Anes



Un homme portant cravate se présenta un jour dans un village. Monté sur une caisse, il cria à qui voulait l’entendre qu’il achèterait cash 100 euros l’unité tous les ânes qu’on lui proposerait. Les paysans le trouvaient bien peu étrange mais son prix était très intéressant et ceux qui topaient avec lui repartaient le portefeuille rebondi, la mine réjouie. Il revint le lendemain et offrit cette fois 150 € par tête, et là encore une grande partie des habitants lui vendirent leurs bêtes. Les jours suivants, il offrit 300 € et ceux qui ne l’avaient pas encore fait vendirent les derniers ânes existants. Constatant qu’il n’en restait plus un seul, il fit savoir qu’il reviendrait les acheter 500 € dans huit jours et il quitta le village.

Le lendemain, il confia à son associé le troupeau qu’il venait d’acheter et l’envoya dans ce même village avec ordre de revendre les bêtes 400 € l’unité. Face à la possibilité de faire un bénéfice de 100 € dès la semaine suivante, tous les villageois rachetèrent leur âne quatre fois le prix qu’ils l’avaient vendu et pour ce faire, tous empruntèrent

Comme il fallait s’y attendre, les deux hommes d’affaire s’en allèrent prendre des vacances méritées dans un paradis fiscal et tous les villageois se retrouvèrent avec des ânes sans valeur, endettés jusqu’au cou, ruinés.

Les malheureux tentèrent vainement de les revendre pour rembourser leur emprunt. Le cours de l’âne s’effondra. Les animaux furent saisis puis loués à leurs précédents propriétaires par le banquier. Celui-ci pourtant s’en alla pleurer auprès du maire en expliquant que s’il ne rentrait pas dans ses fonds, il serait ruiné lui aussi et devrait exiger le remboursement immédiat de tous les prêts accordés à la commune.

Pour éviter ce désastre, le Maire, au lieu de donner de l’argent aux habitants du village pour qu’ils paient leurs dettes, le donna au banquier, ami intime et premier adjoint, soit dit en passant. Or celui-ci, après avoir rétabli sa trésorerie, ne fit pas pour autant un trait sur les dettes des villageois ni sur celles de la commune et tous se trouvèrent proches du surendettement. Voyant sa note en passe d’être dégradée et pris à la gorge par les taux d’intérêts, la commune demanda l’aide des communes voisines, mais ces dernières lui répondirent qu’elles ne pouvaient en aucun cas l’aider car elles avaient connu les mêmes infortunes.

Sur les conseils avisés et désintéressés du banquier, toutes décidèrent de réduire leurs dépenses : moins d’argent pour les écoles, pour les programmes sociaux, la voirie, la police municipale... On repoussa l’âge de départ à la retraite, on supprima des postes d’employés communaux, on baissa les salaires et parallèlement on augmenta les impôts. C’était, disait-on, inévitable mais on promit de moraliser ce scandaleux commerce des ânes.

Cette bien triste histoire prend tout son sel, quand on sait que le banquier et les deux escrocs sont frères et vivent ensemble sur une île des Bermudes, achetée à la sueur de leur front. On les appelle les frères Marchés.

Très généreusement, ils ont promis de subventionner la campagne électorale des maires sortants.


Publié le par jacquoulecroquant